Docteur Michel LE BRUNEncore une année écoulée, de souffrances et de regrets depuis votre départ le 28 décembre 2011, pour aller rejoindre votre épouse sur l'autre rive.
Comme disait le poète "Ô Temps, suspend ton vol" mais ce temps détestable ou merveilleux nous file entre les mains, nous fuit et nous échappera toujours.
Seul ce temps est capable de comprendre combien votre absence et celle de votre épouse est un grand vide pour moi dans ma vie de tous les jours.
Pas un jour ne passe, sans que je ne pense à vous.
Votre fille adoptive.
Mis en ligne le Mardi 31 Dec 2013