Monsieur Jean Sylvain

Il y a 15 ans à peine, il y a 15 ans déjà, tu avais raison Jean, " C'est la vie qui gagne ".
Trois arrière-petits-enfants sont venus ensoleiller la vie de notre famille, mais pour moi, que le chemin reste difficile sans toi.
Une bouffée de tendresse à cet anniversaire.
Ton épouse, Gisèle.

Il y a 15 ans à peine, il y a 15 ans déjà, tu avais raison Jean, " C'est la vie qui gagne ".
Trois arrière-petits-enfants sont venus ensoleiller la vie de notre famille, mais pour moi, que le chemin reste difficile sans toi.
Une bouffée de tendresse à cet anniversaire.
Ton épouse, Gisèle.

Il y a 10 ans, quelque temps avant son départ

me disait : "Ce qui existe ce sont les faits, ce qui compte c'est demain, ce qui gagne c'est la Vie."
Jean tu avais les pieds sur terre et la tête dans les étoiles, je continue de penser qu'il est bien triste que tu ais quitté la première pour les secondes.
Dix ans que l'on parle de toi, que l'on parle sans toi, si la douleur n'est plus aussi violente, le vide de ton absence est toujours aussi vertigineux.
Peut-être que je ne pleure plus quand je pense à toi, quoique, mais j'ai compris et admis que tu me manquerais toujours, en trois mots aujourd'hui, je peux résumer ce que j'ai appris depuis ton départ "La vie continue".
La famille toujours aussi unie, et les amis toujours aussi fidèles, se joignent à moi pour t'adresser un grand sourire de tendresse, puisque c'est ce que tu aimais le mieux de la vie.
Ton épouse, Gisèle Sylvain.