Monsieur Gérard Surzur

Voilà un an que je n'entends plus ta voix. Plus le temps passe, plus tu me manques.
Ta souffrance fut la mienne, mais j'attends ce magnifique voyage pour te retrouver.
La vie sociale est bouleversée et je pense à ceux ou celles qui sont seuls avec leur douleur.
On s'est connu à 15 ans et cet amour fusionnel nous a conduit 45 ans après. On pense ce que l'on veut, je ne rêve que de tes yeux qui accueillent toutes mes larmes. Nous t'aimons.
Ta femme chérie, tes enfants
et ta petite Charlie chérie.