La vie prend parfois des tournures inexplicables que l'on peine à affronter.
FRÉDÉRICle 18 mai 2015, tu es parti sur une autre rive où il n'y a ni larmes, ni souffrances.
Nos meilleurs souvenirs ne peuvent combler le vide de ton départ.
Tu nous manques et tu es toujours dans nos pensées.
Nous remercions tous ceux qui,
depuis deux ans, nous apportent soutien et affection.
Guy, Marie-Anne, Elodie et Florent.
Mis en ligne le Jeudi 18 Mai 2017