Monsieur Dominique Coste Perret

A mon

2 ans aujourd'hui que tu es parti me laissant si seule...
 
« Tu m'as laissée seule dans la tempête avec mon besoin de tendresse, qui appeler, vers qui me tourner et je t'appelle, je t'appelle, je t'appelle. »

 
Je ne peux plus te voir ni t'entendre ni te toucher mais c'est drôle je me sens tellement près de toi tous les jours, je suis contre toi, je sens ta présence, je te tiens la main et je te parle.
Ton esprit sent-il ma présence, puisque l'esprit ne meurt pas.
Je l'espère tant.
Je t'aime fort.
Ta Françoise adorée.

A mon

2 ans aujourd'hui que tu es parti me laissant si seule...
 
« Tu m'as laissée seule dans la tempête avec mon besoin de tendresse, qui appeler, vers qui me tourner et je t'appelle, je t'appelle, je t'appelle. »

 
Je ne peux plus te voir ni t'entendre ni te toucher mais c'est drôle je me sens tellement près de toi tous les jours, je suis contre toi, je sens ta présence, je te tiens la main et je te parle.
Ton esprit sent-il ma présence, puisque l'esprit ne meurt pas.
Je l'espère tant.
Je t'aime fort.
Ta Françoise adorée.

À

(3 décembre 1955- 10 mai 2019)

mon sagittaire parti top tôt rejoindre la galaxie.
Ton deuxième anniversaire sans toi.
Qu'elle est lourde ton absence, mon loulou.
J'ai mis des photos de toi partout sur les murs, des photos de nous, de nos jours heureux, de nos belles vacances.
Et quand je te vois heureux, souriant, je me dis encore que ce n'est pas possible, que tu n'es pas parti pour toujours.
Que la maison est vide sans toi.
J'ai froid sans toi.

 

« Celui des deux qui reste se retrouve en enfer. »
 

Il avait raison, Jacques Brel.
Un gros câlin de ton éternelle complice et de tes gros minets.
 
Ta Françoise qui ne se console pas.

Ma moitié perdue, mon trésor envolé.
Demain, mon Loulou, cela fera un an que tu as pris ton envol.
Où es-tu ? Y es-tu heureux ?
J'aimerais tant le savoir. Tu vois, en ce moment, le chagrin est très lourd parce que je revis tout. Je revis cette période, l'année dernière, où je t'ai vu décliner inexorablement. Tu cachais tes souffrances et ton angoisse.
Et moi, j'étais terrifiée. C'est comme si tu allais de nouveau, me quitter demain. J'ai si mal, mon Loulou, si mal.
J'espère que là où tu es, tu sens la portée de mon amour.
Garde-nous un petit coin au chaud contre toi.
Pour moi et nos Minous, quand l'heure sera venue.
La solitude est misérable.
"Le temps est à l'amour ce que le vent est à à la flamme qui éteint la petite et ranime la grande".
Ton éternelle amoureuse, Françoise.

Ma moitié perdue, mon trésor envolé.
Demain, mon Loulou, cela fera un an que tu as pris ton envol.
Où es-tu ? Y es-tu heureux ?
J'aimerais tant le savoir. Tu vois, en ce moment, le chagrin est très lourd parce que je revis tout. Je revis cette période, l'année dernière, où je t'ai vu décliner inexorablement. Tu cachais tes souffrances et ton angoisse.
Et moi, j'étais terrifiée. C'est comme si tu allais de nouveau, me quitter demain. J'ai si mal, mon Loulou, si mal.
J'espère que là où tu es, tu sens la portée de mon amour.
Garde-nous un petit coin au chaud contre toi.
Pour moi et nos Minous, quand l'heure sera venue.
La solitude est misérable.
"Le temps est à l'amour ce que le vent est à à la flamme qui éteint la petite et ranime la grande".
Ton éternelle amoureuse, Françoise.

Ce 3 décembre, tu aurais eu 65 ans.
Alors, bon anniversaire mon loulou adoré.
Depuis ce noir mois de mai, mon coeur est toujours en pleurs. Vivre sans toi est l'enfer. Plus de tendresse, plus de câlins, plus personne à border tendrement le soir.
 

« Qu'elle est lourde à porter l'absence de l'ami, l'ami qui tous les soirs venait à cette table.
Et qui ne viendra plus, la mort est misérable, qui poignarde le cœur et qui te déconstruit. »

 

À toi pour l'éternité,
ta Françoise d'amour.