Monsieur Antoine Bierlein

«Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis. »

Victor Hugo.

Voilà déjà 4 ans que

Pompier aéroportuaire
13/04/1996 - 01/01/2018
s'en est allé.
Il est d'usage de croire qu'on laisse un peu de soi lors de chacun de ses voyages.
Sache qu'aujourd'hui encore, tu continues de sillonner les chemins de nos cœurs,
et que nous nous sommes, quant à nous, amarrés dans le souvenir merveilleux de ton beau sourire, transportés par l'amour que tu n'as de cesse de répandre autour de toi.
 
Ta famille, tes frères d'armes, tes amis.

3e Anniversaire.
 
« Le prodige de ce grand départ céleste qu'on appelle la mort, c'est que ceux qui partent ne s'éloignent point...
Les morts sont invisibles, mais ils ne sont pas les absents. »
(Victor Hugo)

Pompier aéroportuaire

(13-04-1996 - 01-01-2018)



Trois ans que nous n'apercevons plus ton joli visage souriant à nos yeux en larmes.
Mais trois ans également que ce même sourire rayonne encore et toujours dans nos cœurs, et nous donne la force d'avancer sous tes ailes.

A jamais notre Petit Prince, nous t'aimons.
 
Sa famille.

3e Anniversaire.
 
« Le prodige de ce grand départ céleste qu'on appelle la mort, c'est que ceux qui partent ne s'éloignent point...
Les morts sont invisibles, mais ils ne sont pas les absents. »
(Victor Hugo)

Pompier aéroportuaire

(13-04-1996 - 01-01-2018)



Trois ans que nous n'apercevons plus ton joli visage souriant à nos yeux en larmes.
Mais trois ans également que ce même sourire rayonne encore et toujours dans nos cœurs, et nous donne la force d'avancer sous tes ailes.

A jamais notre Petit Prince, nous t'aimons.
 
Sa famille.

2e Anniversaire.
 


« Sauver ou périr, telle était ta devise.
Ton Amour nous sauve un peu plus chaque jour,
le Nôtre pour toi jamais ne périra. »

Pompier aéroportuaire

(13-04-1996 - 01-01-2018)
À la mémoire d'Antoine,
Antoine, Notre Petit Prince,
Il a vécu, Antoine, affable et bel éphèbe,
Petit Prince innocent au regard chaleureux,
La tête dans les nues ou les pieds dans la glèbe,
Toujours prêt à aider de ses bras généreux.
La Parque l'a tué en sa prime jeunesse.
Mais elle n'a tué, à l'instar du Serpent,
Que son corps: sa dépouille que la vie délaisse
Est une imposture: la raison la suspend.
Notre Petit Prince, lui aussi, est vivant.
Il est là, avec nous, et toujours souriant,
S'adresse sans détour au tréfonds de votre âme :
« Ne soyez pas tristes : dans l'immensité des cieux,
Mon coeur bat près du vôtre et notre coeur s'enflamme:
C'est là l'essentiel... invisible pour les yeux. »


 
Sa famille, ses amis.