Madame Laurence Croissant-Guais

Notre sœur tant aimée, après avoir combattu de toutes tes forces, avec courage, pugnacité et dignité, pendant huit mois contre un type de cancer redoutable, tu as pu passer un tout dernier Noël avec les tiens avant de t'éteindre le 28 décembre au matin. Pour nous tes proches, voir notre sœur mourir à 58 ans nous révolte et nous meurtrit profondément, tellement c'est injuste. Lau, toi qui avais le goût des voyages dans de lointaines contrées. Lau, toi qui avais profondément le goût des gens, sachant être toi-même et s'enrichissant de l'autre. Lau, à la manière d'un Albert Cohen, tu aimais tellement tes frères humains, tu étais totalement ouverte aux autres, toujours sans a priori, sans jugements et sans préjugés, que ta devise c'était « rendre les gens heureux autour de toi, ou que ce soit ». Lau, tu avais aussi l'amour des belles choses et ta coquetterie participait à ton rayonnement ainsi qu'à ton charisme. Être solaire tu étais, Être de lumière tu resteras dans le cœur pour toujours. A toute la famille, aux amis, collègues de travail, ainsi qu'aux membres des associations cosséennes au sein desquelles tu t'es longtemps impliquée, nous adressons un très chaleureux merci pour nous avoir tant aidés, accompagnés et surtout beaucoup entourés lors de ces huit derniers mois.   Jean-Jacques et Patrick Croissant, ses deux frères, dévastés par le chagrin.