« Et je crois que tu me serres,
comme tu me serrais hier,
Oui, ça j'y crois
Oui, je crois que tu m'embrasses,
que personne ne te remplace
Oui, ça j'y crois. »
« Je voulais simplement te dire que ton visage et ton sourire resterons près de moi sur mon chemin.
Peut-être on se retrouvera, peut-être que, peut-être pas.
Mais sache qu'ici-bas je suis là.
Ça restera comme une lumière qui me tiendra chaud dans mes hivers,
un petit feu de TOI qui s'éteint pas. »
Monsieur Claude PECOT
Le 22 février 2022, tu me quittais pour ton dernier voyage.
Merci à ceux qui t'ont accompagné dans la maladie et se sont manifestés.
Christine et Joël, Tante Paulette,
Naina et Gérard, Alice et Yasmine,
Pierre et Jeannine, Jean-Paul,
les tiens fédérés par Patrice,
Paulette, Jean-Paul et Anita, Christine,
Nathalie, Frédéric et Bruno,
le cercle amical et relationnel,
qui m'aident à émerger et continuer le chemin, m'apportant paix et bonheur, souvent en musique,
les voisins, étudiants si bienveillants
et l'équipe d'Appart City,
je les embrasse tous chaleureusement.
Merci au Dr Bordenave pour son écoute, sa psychologie et sa franchise et le Dr Jessin à la douceur remarquable.
Ton courage et ta lucidité resteront gravés.
Tes phrases résonnant à jamais :
« Mon médicament, c'est ma femme. »
« Je me bats pour toi. »
« J'ai envie de vivre. »
Tu sors grandi de tout l'amour donné par ton être profond, passionné, hypersensible, caressant et sensuel.
Engagé politiquement avec l'ami Jacques tu ne comptais pas ton temps pour défendre tes convictions : une société plus juste, plus solidaire.
Repose en Paix, serein.
Les statues pérennes (biches, cerfs et chevreuils) veillent sur toi comme toi hier tu veillais à leur protection en amoureux de la nature.
Nous ne t'oublierons jamais.
Mireille Nerrière, sa femme.
« Le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard. »
Aragon
Mis en ligne le Mercredi 22 Février 2023