Madame Claudine Garoche

Claudine, maman,
ce mercredi 10 janvier est désormais une triste date à jamais gravée, tu es malheureusement décédée.
Est-il trop tard pour un au revoir ?
Je t'exprime aujourd'hui la vive douleur que je ressens, face à cette profonde injustice qu'est la disparition d'un être cher.
Maman, je garderai de toi les souvenirs heureux, ceux où tu as su révéler ta gentillesse et l'amour partagé, ceux qui faisaient de toi une femme humble et joyeuse.
Tu sais que le parcours familial ne fut pas toujours simple. La vie a su greffer des différends de pensées et de jugements, une mère avec une mère ne font pas toujours la recette idéale.
Aujourd'hui, nous t'affirmons, en famille, qu'en nos coeurs demeure l'amour.
Nous ne t'avons jamais oubliée et nous ne t'oublierons pas.
Nous aurions souhaité, en présence, te rendre hommage et t'accompagner vers ta dernière demeure.
Nous le faisons par écrit, dans cette lettre, n'ayant pas été prévenus de tes funérailles.
Ma chère maman, non, il n'est pas trop tard pour te dire au revoir.
Tu resteras dans nos pensées et dans nos coeurs pour toujours.

née TRECHEL
De la part de :
Christelle, ta fille;
Carlos, ton gendre;
Théo et Pierre-Louis Pires Martins,
tes petits-enfants.
Une intention de messe pour Mme Claudine Garoche aura lieu dimanche 28 janvier, à 11 heures, en l'église Saint-Yves de Saint-Brieuc.